Longtemps, Anne-Lise a cru que la maternité n’était pas pour elle. Enfant, elle n’y pensait pas. À 30 ans, elle affirmait clairement son non-désir. Et puis la vie l’a surprise : une rencontre, un compagnon déjà père, un lien fort avec un enfant qui n’était pas le sien. C’est au contact de son beau-fils qu’un désir nouveau a émergé. Doucement, profondément. À 40 ans, elle l’a reconnu, nommé, affirmé. Dans cet échange, elle raconte le parcours intérieur qui a précédé sa grossesse, le basculement progressif, les doutes, la pression de l’âge, la peur du regret… et la joie immense d’avoir écouté ce qui, en elle, demandait à naître. Aujourd’hui, elle accompagne d’autres femmes dans ces mêmes questionnements, et rappelle que chaque maternité a son propre rythme.

00:00 Présentations

00:48 Enfance et éducation, la maternité n'est pas un sujet

03:33 Rencontre de son premier compagnon et années en tant que bassiste dans un groupe rock

04:56 Le non-désir d'enfant

06:32 34 ans : fin de la vie de musicienne, il faut se réinventer

08:35 Reconversion : découverte de l'univers de la petite enfance

11:40 Rencontre de son compagnon actuel et découverte du rôle de belle-maman

14:49 Émergence du désir d'enfant

17:01 Affirmer son désir d'enfant avec un compagnon qui n'en veut plus

19:25 La préservation de la fertilité et l'information manquante

21:04 Le désir d'enfant et la communication dans le couple

22:58 Le début des essais bébé

24:54 Le début du parcours PMA

26:36 La surprise de la grossesse et l'effet psychologique

28:32 Les premiers mois de grossesse et les angoisses

29:50 L'annonce de la grossesse et les réactions des proches

31:37 La normalité de la grossesse tardive

33:35 La connexion avec le bébé et le post-partum

34:18 Les relations sociales et le décalage d'âge

39:23 Les défis de l'éducation dans une famille recomposée

42:25 Carrière et maternité tardive

49:11 Son conseil pour les femmes de 40 ans qui ont un désir d'enfant

52:14 Conclusion

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À 38 ans, Anthony a reçu un diagnostic auquel il ne s’attendait pas : la maladie de Parkinson.

Il raconte les premiers symptômes qu’il a longtemps cachés, l’annonce paradoxalement libératrice, et la manière dont il a peu à peu apprivoisé cette maladie qui évolue chaque jour.

Mais Anthony, c’est surtout une énergie positive et communicative : du sport comme médicament, une présence solaire sur les réseaux (@anthonydesjard1ns), jusqu’à ce moment incroyable où il a porté la flamme olympique.

En filigrane, il nous confie aussi la confiance en lui qu’il a gagné en osant parler.

Aujourd’hui, il est devenu l’un des visages des jeunes parkinsoniens, et son message résonne bien au-delà de la maladie.

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Laura témoigne du combat de son fils Julyan contre une leucémie pédiatrique diagnostiquée à 3 ans et demi. Elle raconte les traitements, les rechutes, les rêves qu’il a pu réaliser jusqu’au bout, et l’engagement qu’elle porte aujourd’hui à travers Septembre en Or. En filigrane, Laura confie l’impact sur sa vie professionnelle, personnelle et émotionnelle, les moments où elle a cru sombrer et la force qu’elle a trouvée pour tenir. Aujourd’hui, elle continue à se battre pour que la voix de Julyan, et celle de tous les enfants touchés par le cancer pédiatrique, résonne encore.

Attention : Cet épisode aborde la maladie grave et la mort d’un enfant.