Il fut un temps où le simple mot productivité me donnait des sueurs froides.

Derrière lui, je voyais surtout la performance à atteindre, la to-do list infinie, la pression d’en faire toujours plus. Et avec ça, deux burn-out, des années de surmenage, et cette impression constante de ne jamais être assez.

Si toi aussi ce mot te fait grincer des dents, c’est normal. On a tous été conditionnés à croire que la productivité, c’est courir plus vite, remplir plus de cases, se tenir à des méthodes toutes faites. Résultat : on s’épuise.

Aujourd’hui, ma vision est différente. Je ne vois plus la productivité comme une injonction, mais comme quelque chose de naturel. Une façon d’agir qui ne demande pas de forcer, ni de lutter, mais de laisser se révéler ce qui est déjà là.

Dans ce nouvel épisode, je t’emmène explorer ce changement de regard : comment passer d’une productivité subie à une productivité fluide, ancrée dans la non-dualité.

Pas de recette miracle, pas de hacks pour faire dix fois plus en dix fois moins de temps… mais une autre manière d’être au monde.

Appliquer le principe de Non dualité dans sa vie déstabilise le mental . Lui qui nous berce d’illusions depuis des lustres, cherche désespérément une vérité à laquelle s’accrocher pour continuer sa fonction de protection .

Un petit rappel du principe de Non dualité : on n’est pas séparé du bonheur / de la paix que l’on recherche (souvent camouflée derrière la recherche d’argent, d’amour, d’un nouveau statut social, d’alignement etc) . On est déjà en paix et en sécurité, on ne manque de rien.

Ce qui nous fait croire à l’illusion du manque ? Les pensées du genre:

-"quand tu seras entrepreneur à Bali tu seras accompli

-quand tu auras perdu 10 kilos tu seras désirable

-quand tu quitteras ton emploi salarié tu seras libre”

Ces pensées vous maintiennent toujours à distance de la paix , elles mettent des conditions, des obstacles entre vous et elle . C’est la dualité crée de toute pièce par le mental.

Quand le mental est confronté à son propre b******t, il panique !! Son rôle est de créer des certitudes pour rassurer, et là, il n’a plus vraiment de certitudes auxquelles se raccrocher .

Pour lui, s’il n’y a plus de certitudes / vérité absolue , il n’y a plus de sécurité . C’est là encore une certitude qui vient du mental . Une dualité .

A quoi se raccrocher alors si plus aucune certitude qui animait nos vies (et notre souffrance) n’est “vraie” ?? Quelle autre certitude peut aider à retrouver la sécurité?

C’est la question que se pose toute personne qui découvre le principe de Non Dualité et j’y réponds dans cet épisode les amis.

D’après vous, quel genre de vie on se construit quand celle ci n’est basée que sur des certitudes du genre “pour être heureux il faut être en couple, avoir des enfants, un monospace, un boulot bien payé et un labrador” ???

👉🏼Réponse :Un genre de vie où vous vous réveillez un matin en vous demandant : “mais comment j’ai pu en arriver là?” “pourquoi malgré tout ce que j’ai , je ne me sens pas épanoui?

Je vous explique : Les certitudes du mental visent à nous rassurer sur notre existence, notre avenir . Il fait en sorte de tout anticiper pour éviter les déconvenues (les émotions désagréables qu’on ressentirait si une situation tournait mal en gros).

Le mental cherche à tout contrôler quoi.

Contrôler le passé, pour qu’il ne se reproduise plus, contrôler les actions dans le présent pour éviter au futur d’être catastrophique …

Le mental crée automatiquement des pensées (qui deviennent des certitudes) pour nous protéger, créant un cocon autour de nous qui au lieu de nous sécuriser, devient une prison où l’on ne se reconnait plus.

Un exemple concret : dans ma recherche actuelle d’emploi salarié, le mental avait tout un tas de critères précis sur lesquels concentrer mes recherches pour assurer ma future sécurité financière (et émotionnelle) .

Au bout de plusieurs semaines, tout ce que je récoltais, c’était de la déception, une grosse amertume et du découragement.

En suivant ces critères que le mental me présentait comme la sécurité à atteindre, je me suis perdue. J’allais tout droit vers une vie professionnelle qui ne me ressemblait pas du tout (sans la qualification requise, en plus) . Une vie où les statuts sociaux priment avant ce qui est le plus à même de me correspondre.

Dans cet épisode je vous raconte comment sortir de ce piège qui nous éloigne de la paix (et le bonheur) que l’on souhaite tous ressentir dans nos vies .

L’expression “Faire la paix avec le passé” insinue qu’il y aurait un problème dans le passé qui apporte trop de “non paix” et qu’il faudrait le résoudre pour retrouver la paix. Vraiment?

Est ce que ce sont les faits du passé qui créent la souffrance ? Ou la narration AUTOUR de ces faits qui vous hantent ?

Vous savez que sous l’angle de la Non Dualité, on EST la paix? Alors, si on EST la paix, pourquoi on souffre autant du passé hein?

J’ai pour coutume de dire que “au plus on cherche au moins on trouve” et si vous cherchez cette foutue paix depuis des lustres sans jamais la trouver, c’est que vous ne regardez pas au bon endroit!!!!

Comme avec la télécommande ! Spoiler alerte: elle n’est JAMAIS sur la table basse!! Regardez sous les coussins du canapé ou dans le coussin du chien 😉.

Dans cet épisode je décortique avec vous ce concept de “faire la paix avec le passé” et vous en apporte un nouvel angle de vue qui vous libérera à la fois des problèmes du passé et de la charge mentale associée.

Oui, je sais, j’ai répété un nombre incalculable de fois le mot “paix” dans ces quelques phrases .. Chat GPT aurait surement choisi d’autres mots, LUI . Mais je ne suis pas CHAT GPT 🤟🏼.

Bonne écoute les amis !

Tchou Bye 😘

Chacun de nous a ce réflexe de scroller sur son tel, dans le but de trouver LA pratique (ou distraction serait le mot plus adéquate ) qui va nous soulager quand on est face à une émotion désagréable (honte, culpabilité, colère, tristesse) …

Mais qui sait rester avec, sans rien chercher à changer?

Soyons honnête: personne. Pas même moi. J’ai du réapprendre à vivre les émotions comme quand on était enfant. On pleurait un bon coup, on criait et dans les secondes qui suivaient, c’était fini. On passait à autre chose.

C’est ce qui nous fait défaut une fois adulte, on ne sait pas faire autre chose que fuir ou combattre ce qui se passe en nous . Et c’est exactement ce qui nous maintient dans la souffrance.

Alors que la Présence, elle, nous libère . Quand on sait rester avec ce qu’on ressent on n’a plus besoin de le fuir ou de le combattre. Il n’y a plus de quête de mieux être , parce que le mieux être est déjà là.

Pour ceux qui voudraient pratiquer la présence plutôt que de courir sans cesse après des méthodes de mieux être inefficaces 👇🏼

Est ce qu’il y a vraiment des Bons choix ? Des Mauvais choix? Ou c’est encore le Mental qui voit tout en noir et blanc, en racontant que c’est la honte de ne pas avoir fait mieux dans telle situation ?

La charge émotionnelle des choix du passé est elle vraiment justifiée? Comment s’en défaire pour ne plus qu’elle parasite les choix actuels?

On en parle dans cet épisode .

Pour ceux qui souhaitent appliquer ce principe Non Duel dans leur activité, vous pouvez cliquer ici 👇🏼Ferez vous le bon choix en cliquant? 😉

Entre

* les entrepreneurs qui ont du mal à s’en sortir financièrement et qui considèrent le retour au salariat comme un échec

* les coachs qui vendent l’entrepreneuriat comme le remède anti prison du salarié avec un succés garanti en 3 mois clé en mains

* les salariés qui voient l’entrepreneuriat comme le remède anti

métro-boulot-dodo qu’ils ont subi pendant des décennies comme des moutons

C’est difficile de se positionner, de choisir un camp. De savoir quel statut est mieux que l’autre . Qui a tort ou qui a raison.

Mais s’il n’y avait pas de camp? S’il n’y avait pas de critère prédéterminant à ce choix en dehors de ce qui résonne le mieux avec la personne sur le moment?

Si ce n’était qu’une histoire d’image que la société valorise au détriment d’une autre ?

Et si on s’en foutait carrément et qu’on était libre de choisir la salariat, l’entrepreneuriat, les 2 en temps plein ou temps partiel sans en interpréter le moindre millimètre?

On en parle dans cet épisode .

Les notions d’échec et de succès. De ce qui est mieux pour les entrepreneurs mieux pour les salariés. De la charge mentale qui alourdit le processus décisionnel et de toutes ces complications qui empechent les gens de vivre pleinement leur vie .

Les Posts (et les personnes talentueuses) qui m’ont inspiré cet épisode :

Celui de Karine Denizot Itinéraire d'une entrepreneure ratée

Celui de Kathy Bonnenfant Side Hustle + Job à temps plein : est ce que ça peut marcher

Je ne parle pas de l’anxiété comme 99.9% des enseignants sur le sujet le font. C’est à dire avec un angle Duel, comme un problème à résoudre provoqué par vos traumas et vos blessures .

Imaginez arriver à vous débarrasser des répercutions que cause l’anxiété dans votre vie juste en y changeant votre angle d’approche !!??

Si en un claquement de doigt , vous réalisez que l’anxiété n’a JAMAIS été ce que vous croyez , tout votre comportement s’en retrouvera bouleversé , en votre faveur.

C’est ce qu’on fait dans cet épisode les amis . On lève l’illusion sur l’anxiété. Bonne écoute.

Pour ceux qui m’écoutent depuis une plateforme de Podcast, vous pouvez me rejoindre sur Substack ici 👇🏼