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1812. Napoléon rompt brutalement la paix avec la Russie. Les russes, pris de court, n'ont d'autre choix que de se retirer précipitamment, évitant tout contact avec l'ennemi. Finissant, sous la houlette de Koutousov, par se réorganiser, ils livrent la plus terrible des batailles de l'épopée napoléonienne : la victoire de la Moskowa pour les uns ou de Borodino pour les autres, faisant plus de 70.000 morts dont beaucoup d'officiers, de généraux, de maréchaux renommés et laissant la grande armée de Napoléon exsangue et épuisée.

"No es una novela, aún menos un poema y aún menos una crónica histórica": así presentaba Lev N. Tolstói su monumental Guerra y paz, que, publicada por entregas en la revista El Mensajero Ruso entre 1865 y 1867 y en forma de libro en 1869, no dejó de causar desconcierto en su tiempo y luego, hasta nuestros días, apasionados intentos de definición. El propio autor decía que los libros más relevantes de la literatura rusa −como Almas muertas de Gógol y Memorias de la casa muerta de Dostoievski− se resistían a encajar en ningún género literario "europeo".

À la suite du traité de Tilsit, la paix semble à nouveau s'établir durablement en Europe. Et chacun de retourner à ses occupations d'avant-guerre. Les bals, les fêtes, l'insouciance des vies reprennent de plus belle, d'autant que beaucoup ont vu la mort de près et sont revenus auréolés de gloire. Les alliances entre les familles se nouent et se dénouent au gré des amours. Chacun pousse ses pions pour trouver le bon parti au mépris des autres même de ses anciens camarades de guerre.

L'immensité de la steppe, l'avidité et la fatuité française précipitent la Grande Armée vers la défaite. Koutousov, en fin stratège, ne fait qu'accompagner la décomposition de l'adversaire. À la suite de plusieurs défaites dues à une totale impréparation, les Français n'ont d'autre choix que de quitter Moscou et de se replier dans le plus grand désordre, harcelés par des groupes de partisans, suivis de près par les troupes russes et abandonnés par leur empereur.

Par un rigoureux après-midi d'hiver, le riche marchand Brekhoußnov décide d'aller négocier l'achat d'une forêt chez un hobereau du voisinage. Nikita, son valet de ferme, et son cheval bai Belle-Face l'accompagnent. En cours de voyage, ils sont surpris par une violente tempête de neige. Ne pouvant laisser passer une bonne affaire, Brekhounov s'acharne à vouloir continuer sa route. Cette décision sera une grave erreur car le temps est désastreux, le cheval se fatigue et ils se perdent.

Anna Karénine est une jeune femme mariée à Alexis Karénine et mère d'un jeune garçon. Elle se rend à Moscou chez son frère Stiva Oblonski. En descendant du train, elle croise le comte Vronski. Anna tombe amoureuse de Vronski, cet officier brillant, mais frivole. Elle lutte contre cette passion et finit pourtant par s'abandonner avec un bonheur coupable. Puis Anna tombe enceinte. Elle décide d'avouer son infidélité à son mari.

Anna Karénine est une jeune femme mariée à Alexis Karénine et mère d'un jeune garçon. Elle se rend à Moscou chez son frère Stiva Oblonski. En descendant du train, elle croise le comte Vronski. Anna tombe amoureuse de Vronski, cet officier brillant, mais frivole. Elle lutte contre cette passion et finit pourtant par s'abandonner avec un bonheur coupable. Puis Anna tombe enceinte. Elle décide d'avouer son infidélité à son mari.

Russie, début du XIXe siècle. À l'Ouest de l'Empire, les guerres napoléoniennes font rage et se rapprochent dangereusement des frontières. De Moscou à Saint-Pétersbourg, la noblesse et la grande bourgeoisie vivent inconscientes du danger, et organisent dîners et bals. Ainsi le comte Rostov qui s'apprête à célébrer la fête de sa fille Natacha ; du prince André Bolkonski et de sa jeune épouse, Lise, enceinte.

Anna Karénina, que Tolstói empezó a escribir en 1873 y fuera publicada en 1878, es una exhaustiva disquisición sobre la institución familiar y, quizá ante todo, como dice Víctor Gallego (autor de esta nueva traducción), «una fábula sobre la búsqueda de la felicidad». La idea de que la felicidad no consiste en la satisfacción de los deseos preside la detallada descripción de una galería espléndida de personajes que conocen la incertidumbre y la decepción, el vértigo y el tedio, los mayores placeres y las más tristes miserias.

Écrit en 1886, "La Mort d'Ivan Ilitch" est un récit emblématique de l'œuvre de Léon Tolstoï. Un magistrat, très satisfait de lui-même, apprend qu'il est malade, condamné à mourir dans de grandes souffrances. De cette peur primitive et essentielle qu'il éprouve, va émaner en lui une nouvelle conscience du monde et de lui-même. La lucidité va surgir de la douleur et entraîner avec elle l'abandon des vanités humaines.

"Hadjí Murat" es una novela histórica escrita de primera mano, ya que Tolstói conoció a algunos de sus protagonistas durante su permanencia en el Cáucaso. La acción transcurre en torno a 1850, bajo el reinado del zar Nicolás I, que se caracterizó por llevar a cabo una política expansionista y de absolutismo represivo. De hecho, el retrato que del zar se hace en la obra nos le describe como un hombre arbitrario, poco justo y demasiado orgulloso.

En Después del Baile, el joven oficial Nejliúdov asiste a un baile de la alta sociedad donde se reencuentra con Kátia, una joven campesina que años atrás había seducido y abandonado. Atormentado por la culpa, Nejliúdov decide enmendar su error y busca redimir a Kátia. Sin embargo, su intento se ve obstaculizado por las barreras sociales y su propia confusión moral.

Esta fascinante fábula inicia con el hallazgo de un grano gigantesco en la Rusia rural. Este descubrimiento lleva al protagonista a reflexionar sobre cómo los granos eran más pequeños en el pasado.

Iván Ilich es un pequeño burócrata que fue educado en su infancia con las convicciones de poder alcanzar un puesto dentro del gobierno del Imperio Ruso. Poco a poco sus ideales se van cumpliendo, pero se dará cuenta de que su esfuerzo ha sido en vano.

Quatre univers de la littérature russe magnifiquement et subtilement retranscrits par deux très grands comédiens. Tout en douceur et en sensibilité, Dominique Blanc interprète "La Dame de pique" et "Une âme simple". Avec une voix grave et une présence "terrienne", Jean-Claude Carrière lit "Le Nez" et "Zinotchka".

La presente traducción ha sido premiada con el premio La Literatura Rusa en España 2012 y el premio Internacional Read Russia 2012 a la mejor traducción de un clásico del siglo XIX.La sola mención del nombre de Anna Karénina sugiere inmediatamente dos grandes temas de la novela decimonónica: pasión y adulterio.

La Muerte de Ivan Ilich simboliza una crítica directa de Tolstói a lo que él consideraba una vida sin sentido. Nuestro personaje, Ivan Ilich, es uno de tantos burócratas de la época quien vive su vida en la trivialidad, carente de empatía y con total indiferencia por cualquier persona o cosa que no interfiera con su cómoda existencia; hasta que un hecho trágico cambia su perspectiva de la vida.

Pajom es un campesino al que ninguna extensión de tierra satisface: cuanta más tiene, más necesita. Al conocer que los habitantes de una lejana región, los bashkirios, le ofrecen tanta tierra como pueda recorrer en un día, no lo dudará e intentará abarcar la mayor cantidad posible.

El protagonista quiere descubrir tres verdades esenciales para la vida: ¿Cuál es el mejor momento para hacer algo? ¿Quiénes son las personas más importantes? ¿Cuál es la acción más importante? Para encontrar respuestas, consulta a sabios, pero ninguno le satisface. Finalmente, un ermitaño le enseña que: El momento más importante es el presente, porque es el único sobre el que tenemos control.

León Tolstói es considerado como uno de los escritores más importantes de la historia de la literatura, y sus obras se cuentan entre las más importantes del Realismo.