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Zwei großartige Schauspielerinnen lesen ihre Lieblingsgeschichten! Hannelore und Nina Hoger erzählen vom Salz des Lebens: Freiheit, Sehnsucht, Neid und Schadenfreude; Mord, Verzweiflung, Begehren und tiefe Liebe. All das und viel mehr sind Themen der Erzählungen der herausragenden Autoren Tania Blixen ("Der Ring"), Amos Oz ("Zwei Frauen"), Zsófia Bán ("Armani und die Liebe"), Doris Lessing, Wolfgang Borchert, Ernest Hemingway u.a.

Clarice Lispector gilt neben Virginia Woolf als bedeutendste Schriftstellerin der Moderne. Zu ihrem 100. Geburtstag erscheint der zweite und letzte Band ihrer gesammelten Erzählungen in der gefeierten Neuübersetzung von Luis Ruby. Hannelore Hoger, eine große Kennerin und Verehrerin Lispectors, liest ihre persönlichen Lieblingserzählungen aus beiden Bänden. Mit ihrer markanten Stimme und einem tiefen Verständnis für die komplexen Gefühle, die hinter Lispectors nur scheinbar einfacher Sprache aufscheinen, verleiht sie dieser Prosa einen kongenialen Ausdruck.

A meditation on the nature of life and time, Água Viva (1973) shows Lispector discovering a new means of writing about herself, more deeply transforming her individual experience into a universal poetry. In a body of work as emotionally powerful, formally innovative, and philosophically profound as Clarice Lispector’s, Água Viva stands out as a particular triumph.

This new translation of Clarice Lispector's sensational first book tells the story of a middle class woman's life from childhood through an unhappy marriage and its dissolution to transcendence. Near to the Wild Heart, published in Rio de Janeiro in 1943, introduced Brazil to what one writer called "Hurricane Clarice": a 23-year-old girl who wrote her first book in a tiny rented room and then baptized it with a title taken from Joyce.

Lispector’s most shocking novel. The Passion According to G.H., Clarice Lispector’s mystical novel of 1964, concerns a well-to-do Rio sculptress, G.H., who enters her maid’s room, sees a cockroach crawling out of the wardrobe, and, panicking, slams the door - crushing the cockroach - and then watches it die. At the end of the novel, at the height of a spiritual crisis, comes the most famous and most genuinely shocking scene in Brazilian literature....

The Hour of the Star, Clarice Lispector's consummate final novel, may well be her masterpiece. Narrated by the cosmopolitan Rodrigo S. M., this brief, strange, and haunting tale is the story of Macabéa, one of life's unfortunates. Living in the slums of Rio and eking out a poor living as a typist, Macabéa loves movies, Coca-Colas, and her rat of a boyfriend; she would like to be like Marilyn Monroe, but she is ugly, underfed, sickly, and unloved.

Here, gathered in one volume, are the stories that made Clarice a Brazilian legend. Originally a cloth edition of 86 stories, now we have 89 in all, covering her whole amazing career, from her teenage years to her deathbed. In these pages, we meet teenagers becoming aware of their sexual and artistic powers, humdrum housewives whose lives are shattered by unexpected epiphanies, old people who don't know what to do with themselves - and in their stories, Clarice takes us through their lives - and hers - and ours.

Lóri, a primary school teacher, is isolated and nervous, comfortable with children but unable to connect to adults. When she meets Ulisses, a professor of philosophy, an opportunity opens: a chance to escape the shipwreck of introspection and embrace the love, including the sexual love, of a man. Her attempt, as Sheila Heti writes in her afterword, is not only “to love and to be loved,” but also “to be worthy of life itself.”

The crônica, a literary genre peculiar to Brazilian newspapers, allows writers, or even soccer stars, to address a wide readership on any theme they like. Chatty, mystical, intimate, flirtatious, and revelatory, Clarice Lispector’s pieces for the Saturday edition of Rio’s leading paper, the Jornal do Brasil, from 1967 to 1973, take the forms of memories, essays, aphorisms, and serialized stories. Endlessly delightful, her insights make one sit up and think, whether about children or social ills or pets or society women or the business of writing or love.

Dans son appartement de Rio, une femme commence sa journée, seule face à une tasse de thé. Sa bonne l'a quittée le matin même. Il y a une première rupture du rythme quotidien de cette femme. C'est pourquoi elle entame une interrogation sur le cours habituel de ses jours. Après avoir décidé de faire le ménage dans la chambre de la bonne, elle découvre qu'elle a vécu de longs mois à côté de quelqu'un resté totalement étranger.

Des nouvelles de Clarice Lispector lues par une des plus célèbres actrices brésiliennes contemporaines. Dans ces treize nouvelles, Clarice Lispector peint avec une précision remarquable des portraits de femmes toutes différentes les unes des autres. Une jeune fille passionnée de lecture décrit l’intimidation exercée par une camarade dont le père est libraire, une autre femme relate le parcours qui l’a conduite à devenir voleuse de roses, tandis qu’une mère échange des réflexions avec son fils autour du dîner.

Rappelant les légendes traditionnelles et les contes initiatiques, les cinq histoires de ce recueil mêlent le monde de l’enfance aux destins d’animaux. Ces derniers se voient pris dans un tourbillon d’événements aussi anodins que mystérieux, inspirés de la vie quotidienne. Dans un mélange d’humour et de simplicité, d’ironie et d’amour maternel, l’illustre écrivaine brésilienne écrit pour ses fils Paulo et Pedro, et à travers eux pour tous les enfants de la Terre, avec à ses côtés leur chien Ulysse, qui saute joyeusement de la réalité à la fiction.

Sur le sort de cette femme sans charme et sans esprit du Nord-Est brésilien, le narrateur de "L'heure de l'étoile" semble tant s'attendrir que perdre patience. Autour d'elle gravitent des avides et des ambitieux qui ne lui donneront rien. En observateur distant, l'auteur fictif s'acquitte d'une lourde tâche : faire le récit de cette vie misérable et sans amour, qui tiendrait en un souffle.

En une quinzaine de romans et recueils de nouvelles, Clarice Lispector (1925-1977) a construit une œuvre qui la place parmi les plus grands écrivains brésiliens. De sa très jeune voix, Chiara Mastroianni lit trois des treize nouvelles de "Liens de famille", dans lesquelles l'auteur allie une écriture d'une précision implacable à un regard cruel, tendre et ironique. Tous les personnages ont en commun de porter le poids d'une faute, d'une honte, d'une trahison, ou de résister à la tentation de la pitié.

"L'imitation de la rose" appartient au recueil "Liens de famille", dont les textes se construisent autour d'événements, apparemment anodins, mais à l'origine pourtant de profonds bouleversements chez les personnages. Ici, Laura, rentrée chez elle après un séjour en hôpital, repasse dans sa tête les conseils du médecin : calme, repos... C'est la contemplation d'un bouquet de roses, des roses trop belles, qui provoque chez elle le basculement redouté.

Le sentiment de l'exil, l'étrangeté au monde, la mélancolie, que Clarice Lispector exprimait dans les lettres à ses sœurs écrites de Berne où elle résidait dans les années 1940, sont la matière même de ses œuvres et se retrouvent dans les nouvelles lues par Fanny Ardant. "Ce qui était arrivé à Ana avant d'avoir un foyer était à jamais hors de sa portée: une exaltation perturbée qui si souvent s'était confondue avec un bonheur insoutenable."

En støvet, sort, næsten forhistorisk kakerlak – det er hvad skulptøren G.H. møder, da hun åbner sin stuepiges garderobeskab. Hun smækker straks skabsdøren i – men en uimodståelig fascination er vakt. Mødet med kakerlakken åbner døren til hidtil lukkede rum, til en spirituel krise, og stiller spørgsmålstegn ved selve G.H.s identitet og placering i universet.