Ergebnis für "John French" in Belletristik

Ahriman vegetiert auf der Schwelle von Zeit und Raum und treibt hilflos durch ein Zwischenreich unbekannter Größe und Gestalt. Zu guter Letzt hat er gefunden, wonach er gesucht hat: jene uralte Apparatur der Necrons, die als der Schlüssel zur Unendlichkeit bekannt ist. Es sollte ein Moment des Triumphes sein, aber er ist nicht mehr der Ahriman, der er einst gewesen ist. Er ist verraten und verloren, ein einsamer Hexer ohne Verbündete, umgeben von den Trümmern seiner großen Pläne.

Charles Smithson, a respectable engaged man, meets Sarah Woodruff as she stands on the Cobb at Lyme Regis, staring out to sea. Charles falls in love, but Sarah is a disgraced woman, and their romance will defy all the stifling conventions of the Victorian age.

Jack Biddlecomb has much to live up to, being as he is the eldest son of the esteemed Captain Isaac Biddlecomb, wealthy merchant captain, leading light of the War for American Independence, and newly minted congressman. Jack finds himself off to a promising start, however, when he’s given command of the merchant vessel Abigail bound from Philadelphia for Barbados. But even before the dock lines are cast off, the voyage, which should have been routine, begins to look like a stormy passage indeed.

The time is 1975. The place is an unnamed city by the sea. The government has just declared a State of Emergency, in whose upheavals four strangers—a spirited widow, a young student uprooted from his idyllic hill station, and two tailors who have fled the caste violence of their native village—will be thrust together, forced to share one cramped apartment and an uncertain future.

It is 1781, and the British-held American port of Yorktown on the Chesapeake Bay is under siege. Pounded by the American colonists on land and the deadly warships of their French allies at sea, the once proud city is in flames and near ruin. But on the horizon, the King's own fleet of heavily armed frigates heads full sail to blast through France's blockade. Aboard His Majesty's swift flagship DESPERATE, midshipman Alan Lewrie quickly sets his gunners to their lethal work, firing rapid broadsides of 24 pound shot at the enemy vessels.

John Milton tuait autrefois pour le compte du gouvernement britannique. Il essaie désormais de se racheter, une mission après l’autre. Hanté par son passé, Milton vit incognito à Londres, offrant son aide à ceux qui n’ont personne vers qui se tourner. Quand il fait la rencontre d’Eddie Fabian, un homme suicidaire, brisé par les abus vécus dans son enfance, il décide de s’impliquer. Mais avant qu’il ait le temps d’agir, Eddie est retrouvé mort. Et quelque chose ne colle pas.

John Milton pensait en avoir fini avec Avi Bachman. L’homme le plus dangereux qu’il ait jamais connu s’est retrouvé incarcéré à Angola, la prison impitoyable de Louisiane. Une fois enfermé là-bas, on ne ressort que dans une boîte en bois. Mais Bachman n’est pas un prisonnier ordinaire. En tant qu’ancien assassin au service du Mossad, il a des relations.

John Milton s’efforce de se racheter après sa carrière de tueur à gages pour les Services secrets britanniques. Il cherche désespérément à réparer ses erreurs et à réécrire son passé sanglant. Il se retrouve en Louisiane – au cœur du bayou et parmi les ravages de Katrina – avec une dette à payer. Isadora Bartholomew, qui a sauvé la vie de son partenaire, a besoin d’aide. Joel Babineaux, un magnat de l’immobilier, a décidé de saboter l’association qu’elle a fondée pour reconstruire le quartier du Lower Ninth.

Fuyant ses propres démons, John Milton part faire un trek dans le Michigan avant de débarquer dans la ville de Truth. Il ne cherche pas les ennuis mais les ennuis eux le trouvent. Il va devoir affronter un policier qui n’a aucune idée de qui il a en face de lui, ni du danger que Milton représente. Milton est méchamment blessé après avoir été trahi. Seul et sans arme, il s’enfuit dans les lointaines montagnes du Porc-Epic, avec plusieurs hommes à ses trousses. Ses ennemis croient pouvoir le retrouver. Ils commettent une erreur et, avec Milton, c’est déjà une de trop.